Dette de sommeil, engagement physique, intellectuel et
émotionnel, mais aussi rythmes chronobiologiques…
Plusieurs facteurs influencent le niveau de vigilance
individuel. Son déficit augmente le risque d’erreurs et
d’accidents par altération des capacités cognitives
(concentration prise de décision, somnolence,
automatismes et “effet tunnel”…). La gestion de
l’hypovigilance et la compréhension du phénomène
devient donc un sujet majeur de prévention des risques
en entreprise.

L’expérimentation d’outils faciles d’accès permettra aux
bénéficiaires de disposer de stratégies pour faire face à la
fatigue et d’en minimiser les conséquences. Les données
théoriques fournissent quant à elles un modèle de
compréhension de la fluctuation des états
psychocorporels tout au long d’une journée et définit les
plages horaires “à risque” qui pourront ainsi être
anticipées.

Pouvoir se dynamiser quand il le faut, savoir récupérer
dès qu’on le peut. Voilà un gage d’optimisation des temps
faibles pour mieux aborder les temps forts et garantir
sécurité et performance au bénéfice de toutes et tous.